UNIVERSITY OF SOUTHERN CALIFORNIA
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 You liked to play with darkness, all the universe could give. | T. Jones; FINISHED.

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AnonymousInvité
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You liked to play with darkness, all the universe could give. | T. Jones; FINISHED. Vide
MessageSujet: You liked to play with darkness, all the universe could give. | T. Jones; FINISHED.   You liked to play with darkness, all the universe could give. | T. Jones; FINISHED. EmptyJeu 1 Avr - 18:08




TRISTAN HENRY JONES
20 ans ― étude; Politique/Diplomatie.
né à Chicago, IL, USA.
LAMBDA DELTA ALPHA
Moyenne générale : 66/100
Année d'étude : 3ième année.



    You liked to play with darkness, all the universe could give. | T. Jones; FINISHED. 2eod64y
    kellan lutz
    i'm a real...............................
    passioné ; perfectionniste ; attentionné ; indépendant ;
    gaffeur ; bagarreur ; taquin ; jaloux ;



    the story you're about to read is true


► MODE FICHE TRADITIONNELLE.

PHYSIQUE :
    Qui a dit que l'on reflétait son physique ? Cela dsoit sûrement être à cause de l'importance que l'on accorde aux apparences. Mon physique n'est pas très banal, il ne se fond pas facilement dans la masse, même si c'est ce que je voudrais... Je suis plutôt grand, je mesure environ un mètre quatre-vingt-quinze, pour quatre-vingt-cinq kilos approximativement, une sorte d'armoire à glace que d'autre appellerons...nounours. Ma silouhette est svelte, élancée et très développée. Je pourrais l'expliquer, grâce à la pratique du football américain, durant mon adolescence et la natation, depuis que mon enfance. En effet, j'en fais depuis l'âge de huit ans et je me débrouille plutôt bien même si j'ai arrêté ce sport des plus complets vers mes quinze ans, en me déboîtant l'épaule en nageant. Et oui, lorsque l'on est pas doué... Après deux ans de rééducation, je pus reprendre le sport et, cette fois-ci je choisisais le football américain, un des sports les moins violents crées par l'Homme. Et, j'adore vraiment ce sport, je m'y éclate littéralement et dans tous les sens possibles. Aussi bien physiquement que moralement. J'ai souvent des lèvres bourssouflées et des cocards mais bon, l'engagement physique fait partie du folklore du jeu ! Mais bon, j'aime ce sport, je m'y amuse comme un "petit fou". J'ai un tatouage à la hanche gauche. C'est un tatouage où il est inscrit "Godspeed", qui signifie "chance". J'en ai un autre à l'épaule gauche, d'ailleurs, que l'on ne le voit que très rarement, sauf en été. Il représente un idéogramme chinois, qui signifie "honneur". Et oui, quoi qu'il advienne, on a toujours quelqu'un à qui faire honneur, même dans les épreuves les plus difficiles où la dernière solutions semble être l'abandon. J'essaie de me faire passer pour quelqu'un d'optimiste, mais je ne fais que me rassurer car je suis loin de l'être. J'en ai un troisième qui part du milieu du bras droit jusqu'au torse. Il est dessiné -ou plutôt tatoué- un dragon dans un environnement enflammé sur le bras, entouré d'une sorte d'ange sur le torse et d'un autre personnage, visible seulement dans mon dos, qui est un démon. Je ne sais pas exactement ce qui m'a pris ce jour-là... Il y en a un plus petit à mon poignet gauche. Bref, voilà pour les tatouages. Mes cheveux sont, à la base, blonds mais ils ont été bruns voire noirs durant mon adolescence. Mais aujourd'hui, ils ont retrouvé une couleur, plus ou moins naturelle, le châtain, plutôt clair. Ils sont souvent court ou mi-longs mais très rarement voire jamais extrêment longs ou rasés. En été, et donc avec beaucoup de soleil, ils peuvent devenir, plus clairs qu'à l'habitude, c'est à dire blonds, merci la Californie. J'ai les yeux de couleur noisette, mais avec le temps, ils se sont avérés être de couleur hazel, c'est-à-dire que leur couleur varie en fonction de l'environnement où je me trouve. En effet, ils peuvent être verts pâles et tirer sur du marron voire noisette. Ils peuvent être aussi bleu ou gris, bref, cela dépend de l'endroit où je suis. Ils sont très expressifs voire tristes, le moindre sentiment passe par eux, au risque de me contredire. D'ailleurs, mon regard me trahit la plupart du temps. Dans mes yeux, on ne peut pas voir de méchanceté, car je ne fais jamais mal pour faire mal. Une phrase me résume très bien: "Oeil pour oeil, dent pour dent". Et, d'ailleurs, en parlant de dents, elles sont blanches et bien alignées, grâce à un appareil dentaire que j'ai porté lorsque j'étais au collège. J'aime garder une barbe naissante, pour me vieillir et paraitre moins "enfantin", car j'ai toujours eu des joues rebondies, qui me font plus jeune. Le problème, c'est qu'avec cette barbe, je peux faire vraiment plus agé, mais je n'ai pas à me plaindre car, en même temps, c'est ce que je cherche. Ce n'est pas un problème pour moi, mais peut être pour les autres. Je porte une bague aux deux pouces, au majeure gauche et une bague au à l'index droit. Lorsque je joue d'un instrument, je les enlève car elles m'empêchent de jouer à peu près correctement. Et lorsque je pratique le football, je les enlève à la fois pour les autres mais aussi pour moi. Et oui, voir un ami avec un doigt en moins à cause d'une bague, ce n'est pas très...chouette.


CARACTERE :
    Tout d'abord, commençons par le plus simple, les qualités et les défauts. Enfin, même si mes qualités, je ne saurais les dire. Peut être qu'en apprenant à me connaitre, vous pourrez les découvrir, s'il y en a, bien sûr -parce que personne n'est parfait. Derrière ma façade de grand blond rebelle, timide, distant, froid, manquant de tacte, intimidant et idiot, se cache quelqu'un de calme, assez avenant et très diplomate. C'était tout un apprentissage et lorsque l'on est un gaffeur né, on le reste toute sa vie, je pense. Mais, j'essaie de peser le poids de mes propos pour ne pas blesser ou offenser certaines personnes même si j'ai tendance à partir au quart de tour. Mais bon, rien ne m'empêche d'être taquin ou gaffeur car l'erreur est humaine, et oui, la preuve, j'en suis une. Comme il est vraiment très difficile de le remarquer, je "souffre" d'une assez grande remise en question et d'un énorme manque de confiance en moi. Il m'arrive d'être en doute perpétuel, et dans ces périodes, je suis très renfermé, et un rien me trahit. Alors je fume, pas beaucoup parce que l'odeur n'est pas très agréable et pour le sport, cela a tendance à réduire les capacités physiques, mais, par moment, cela me relaxe et me permet d'oublier mes doutes et mon insécurité incertaine pour un moment donné. Et puis, le plus souvent, je me réfugie dans la musique ou le sport mais, pour le plus souvent, c'est la musique qui l'emporte. Je ne peux pas vivre sans, c'est ma dépendance avec un grand "D". Autrement, lorsque je ne suis pas pensif ou dans mes périodes de doutes, je suis quelqu'un qui sourit autant qu'il le peut, même aux inconnus. J'ai un sourire accroché à mes lèvres, et je ne sais pas si quelqu'un pourra me l'enlever. J'ai parfois l'air idiot mais je m'en fiche à vrai dire. J'ai toujours pensé qu'il était plus agréable d'avoir quelqu'un qui sourit trop que quelqu'un qui boude à longueur de journée. Bon il y a un juste milieu, c'est vrai mais je ne le suis pas. Tant pis ! Parce que je vascille d'un extrème à l'autre. Je peux très bien être souriant, jusqu'à excès mais je peux aussi être celui qui plombera l'ambiance dans un groupe, ce qui explique mon isolement dans ces cas là -et je suis souvent seul, allez savoir comment cela se fait. Voilà pourquoi, en tant que 'décor', je passe pour quelqu'un de solitaire ou d'idiot voire d'associable alors que ce n'est pas du tout le cas. Dès que les gens apprendront à me connaître, ils sauront que je rigole pour un rien, que l'on peut parler de tout et de rien avec moi et aussi que je suis vraiment bête. En effet, à la moindre blague pourrie, nulle ou idiote, je serais sûr de rire ou, à la limite, de sourire... Voilà qui peut se montrer bien déroutant. En faite, je suis un paradoxe à moi tout seul. En effet, je me contredis assez souvent et mon apparence me montre froid, plutôt sans coeur et distant alors que ce n'est pas tout à fait le cas. J'ai toujours été là pour mes amis -parce que j'ai (eu) des amis- ils peuvent compter sur moi et il le savent. Personne ne s'est plaint de mon sens de l'amitié, jusque là. Je suis quelqu'un de protecteur, la souffrance que l'on peut faire à mes proches me déplait énormément et je ne suis pas du genre à voir mes amis souffrir sans rien faire. Je n'ai jamais hésité à les aider, quitte à me mettre dans une situation désagréable. Je ne cherche pas mon profit mais l'épanouissement de mon entourage, ce qui est explique ma sur-protection, au risque de paraître trop lourd. Mais bon, dans la plupart des cas, il vaut mieux en avoir trop que pas assez, non ? Enfin, beaucoup me décrive comme quelqu'un de naïf mais voilà, de mon point de vue, le commandement "aime ton prochain" fonctionne, mais avec certaines personnes. Je joue, parfois, le rôle du crétin pour pouvoir me faire mes dents et savoir comment sont réellement les gens car ils ne se méfie pas du petit crétin, idiot de base. Et ils arrivent à me croire, car, en voyant mes notes, qui sont légèrement au dessus de la moyenne.


HISTOIRE :
    Nous sommes à Chicago, la capitale de l'état de l'Illinois, un état des Etats-Unis, le 14 avril 1989. Ce jour là, naquit un jeune garçon nommé Tristan Henry Jones, en l'honneur de son grand-père, mort, il y a peu, d'une crise cardiaque, de mère Américaine et d'un père Irlandais.

    Je grandis aux côtés de ma mère et de mon oncle. Ils étaient mes repères, et c'est grâce à eux que je suis la personne que je suis, avec mes valeurs, mes défauts et quelques qualités, je le reconnais. En dehors de mon oncle, je n'ai jamais eu de présence masculine, et, par conséquent, je mis du temps avant de m'affirmer réellement. Je passais le plus clair de mon temps avec lui d'ailleurs. Il m'est très important et nous avons une grande complicité. C'est grâce à lui que j'ai trouvé le goût pour la musique et je me souviendrais toujours des matches de Superbowl que nous regardions. Il m'a appris à jouer de la basse et du piano. Formation que j'ai fini par compléter par quelques notions de guitare. Mon oncle et moi, nous jouions pas mal d'ailleurs, on s'entendait vraiment bien. Mais voilà, le père que j'avais toujours rêvé d'avoir et moi nous perdimes de vue, à cause du mariage de ma mère. Et ce fut elle qui me poussait à pratiquer dans une équipe, le football américain, exaspérée de me voir ne rien faire à la maison, à part me tourner les pouces. Cela faisait presque deux ans que je ne faisais plus de sport et cela me manquait. Cela ne plaisait pas beaucoup à mon beau-père, mais comme le préfixe 'beau' insiste bien, ce n'est pas mon père. Je n'en ai jamais eu et je ne veux pas en avoir. Si une telle rancoeur existe, c'est tout simplement parce que mon géniteur m'a abandonné deux mois après ma naissance. Comme je ne l'ai jamais connu et que je n'ai jamais cherché à le connaître, ce n'est qu'un simple inconnu. A vrai dire, j'aimerais ne jamais l'avoir connu. En effet, j'ai pris conscience de son existance à l'age de sept ans, lors de la procédure de divorce et cela se passa plus ou moins mal puisque je finis par aller voir une psycologue, pour aller mieux en renfermant cette souffrance entre des parenthèses.

    Ces fameuses parenthèses furent brisées à l'age de treize ans, par une convocation au commisariat qui atterit dans la boite aux lettre de ma mère. Je la charriais en disant qu'elle avait du jouer les révolutionnaires, mais en faite pas du tout. C'était le retour du père prodigue, en quelques sortes. Il était accusé de viols et tentative de viol sur mineurs. D'après ma mère, c'était un lache doublé d'un idiot et lorsqu'elle me dit le pourquoi de cette convocation, je n'avais d'autre choix que de la croire. Je m'en étais toujours plus ou moins douté mais là, c'était évident. J'avais du mal à accepter d'avoir du sang de violeur en moi. Cela me rendait honteux, et très très mal. Mais je prenais sur moi, pour ne pas inquiéter ma mère et troubler l'idylle qu'elle vivait avec mes histoires d'adolescent torturé. Je me noyais complètement dans la musique et les arts dramatiques. Ce sont mes passions qui me préservèrent, sans compter que mon oncle me manquait terriblement. Ce qui "m'acheva", ce fut le verdict du procès de mon géniteur, il avait été reconnu coupable. Je me sentais vraiment mal, personne n'essayait de me comprendre, ils le disaient, mais c'était des paroles dans le vent car ces derniers cherchaient plus à me réconforter qu'à me comprendre réellement. Je fis une tentative de suicide, carj'avais eu d'autres problèmes, et à l'adolescence, on a tendance à choisir la facilité. Ayant consicence que ce n'était pas le bon chemin, je décidais d'utiliser cette haine, cette colère sur le terrain et cela fonctionnait. Malheureusement, il en fallait plus pour me calmer et, sans trop savoir comment je me retrouvais dans des combats de rues. Je gagnais de l'argent, de quoi me construire les bases de mon avenir. Au début, j'arrivais à joindre les deux bouts, enfin trois puisqu'il y avait les cours, le football et mes "activités extra-scolaires". Puis mes notes baissèrent mais j'aimais ma vie à Chicago.

    Malgré cela, je devais bien avouer que j'éprouvais le besoin de changer d'air, de voit de nouveaux horizons et réalisant que je faisais des choses illégales, je n'avais pas l'esprit tranquille. Je voulais tourner la page, partir sur de nouvelles bases. Avec mes rêves de grandeur, je pensais à la Californie... Pourquoi pas aller du côté de la chaleur et de l'océan ? Parce qu'à Chicago, il ne faisait pas vraiment, voire pas du tout chaud et encore moins beau... Le fait que j'obtienne une bourse me permit de concrétiser ce rêve là. Et il se trouvait que mon beau-père avait une résidence là bas. D'ailleurs, il en avait un peu partout, en France, en Australie, à Miami mais celle de Los Angeles était la 'principale'. Ma mère pensait que m'éloigner de Chicago, et donc de cette histoire avec mon géniteur, me ferait le plus grand bien. Je pensais que tout allait me sourire, vu que Los Angeles ne pouvait pas être pire que Chicago. Mais elle se trompait, elle avait tort à un point...et moi aussi. Là bas, je ne faisais que tenir la chandelle entre les deux tourteraux et voilà pourquoi je me concentrais sur mes études, le football, la musique et je passais le plus clair de mon temps dehors, avec mes nouveaux amis, ils me charriaient à cause de mon accent du "Nord" assez prononcé. Je décidais de choisir l'université de Los Angeles, elle était assez réputée. Les deux tourteraux déménagèrent à Miami, de l'autre côté des Etats-Unis pour y vivre leur vie. Il était bien temps que je commence la mienne. A vrai dire, cela m'arrangeait, à cause de la relation que j'entretenais avec mon beau-père qui était assez étrange, et, au fur et à mesure, il s'est avéré que ma relation avec ma mère se soit dégradée.

    J'intégrais donc cette université fièrement car, si j'en étais là, c'était grâce à mon acharnement mais, peut-être aussi, indirectement, grâce à mon beau-père, il m'avait aidé financièrement. Mais voilà, à cause de la distance qui nous séparait, les seules fois où j'ai des nouvelles des deux amoureux, c'est soit à Noël, aux anniversaires ou parfois pour les vacances d'été. Ils me demandent de venir les voir mais je n'y passe même pas une semaine, prétextant des occupations très prenantes comme des sorties avec des amis, des matches et toute excuse plus ou moins plausible.


HORS JEU


  1. C'est quoi ton ptit nom ? Et pseudo ? : Anonymous.
  2. T'as quel âge ? : 15.5.
  3. Ton avatar ? : Kellan Lutz.
  4. Tu a pris un poste vacant, scénarii ou tu là inventer ? : Made it by myself.
  5. Fréquence de connexion ? : 3/7 jours
  6. Où as-tu connu le forum ? : Par partenariat, je m'en souviens plus xD
  7. Comment tu le trouves ? : Super ^^
  8. Code du réglement ? :
    Spoiler:
  9. Exemple de rôle play :
    Spoiler:
  10. Autres : Nothing else i can say Very Happy


Dernière édition par Tristan H. Jones le Jeu 1 Avr - 20:55, édité 1 fois
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AnonymousInvité
Invité




You liked to play with darkness, all the universe could give. | T. Jones; FINISHED. Vide
MessageSujet: Re: You liked to play with darkness, all the universe could give. | T. Jones; FINISHED.   You liked to play with darkness, all the universe could give. | T. Jones; FINISHED. EmptyJeu 1 Avr - 20:53

    Welcome guy !
    Mon dieu que ta présentation est belle (:
    Le code du règlement est faut (A) après ça, je te validerai.
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AnonymousInvité
Invité




You liked to play with darkness, all the universe could give. | T. Jones; FINISHED. Vide
MessageSujet: Re: You liked to play with darkness, all the universe could give. | T. Jones; FINISHED.   You liked to play with darkness, all the universe could give. | T. Jones; FINISHED. EmptyJeu 1 Avr - 20:57

Thanks girl ! Very Happy
merci ^^

Edité, jme disais aussi, les choux de bruxelles comme code... 94
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AnonymousInvité
Invité




You liked to play with darkness, all the universe could give. | T. Jones; FINISHED. Vide
MessageSujet: Re: You liked to play with darkness, all the universe could give. | T. Jones; FINISHED.   You liked to play with darkness, all the universe could give. | T. Jones; FINISHED. EmptyJeu 1 Avr - 21:01

    Je te valide avec grand plaisir mon chou. =P
    et je veux un liens.
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You liked to play with darkness, all the universe could give. | T. Jones; FINISHED. Vide
MessageSujet: Re: You liked to play with darkness, all the universe could give. | T. Jones; FINISHED.   You liked to play with darkness, all the universe could give. | T. Jones; FINISHED. Empty

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You liked to play with darkness, all the universe could give. | T. Jones; FINISHED.

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