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 |  Sujet: Maggie . Le diable sur talons aiguilles. | 1oo %. Dim 28 Fév - 22:52 | |
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MAGGIE YALE RAY
2o ans ― & étude de politique.
née à Los Angeles, Californie. USA.
Thêta Kappa Epsilon
Moyenne générale : 8o /100
Année d'étude : 3 ére année.
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Annalynne McCord.
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i'm a real...............................
bitch ; ; manipulative ; calculator ;
wicked ; egocentric ; possessive ; selfish
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the story you're about to read is true
Je me suis toujours demandée comment c'était possible de voir défiler sa propre vie devant ses yeux en quelques secondes. J'étais persuadée que cela n'arrivait que dans les films, que c'était une bonne façon pour le réalisateur de faire un fash back et puis parce que cela donnait toujours plus de charme aux personnages mais en réalité, cela arrive. Au plus commun d'entre nous. J'en ai fait l'expérience.
J'étais en voiture avec mon copain de l'époque, le quater back de l'équipe de base ball de mon lycée, tout se passait bien, nous rentrions de la folle fête que font tous les étudiant qui ont été diplômé et mon copain devait être bien fatigué puisqu'il s'est endormi au volant. Je ne prêtais pas d'attention à sa conduite, perdu dans mes pensées et surtout sentant le sommeil qui me chatouillait le bout des cils. Et puis, dans un crissement de pneu digne des plus grand film d'action, dans un coup de volant mémorable, la belle voiture de mon copain s'explose dans un arbre. Voilà, c'est avant ce choc, quelques millièmes de seconde avant, que notre vie défile devant nos yeux. Lorsque la mort est toute proche.
En cet instant, en ce laps de temps infiniment petit, j'ai vu 19 ans de ma vie. Je me revoyait petite, jouant dans le grand jardin de l'immense villa de mes parents. Je venais d'avoir un chiot en cadeau d'anniversaire, et je m'amusais à lui tirer la queue, sous le regard à la fois attendrit et prudent de mes parents. J'étais née il y a seulement trois ans et j'avais déjà découvert un bon bout de chose. Je me trouvais dans la ville la plus belle de toute la côte ouest des États Unis, mon père, un des hommes les plus riches de la ville, me couvrait sans cesse de cadeaux, de vêtements et à vrai dire de tout ce dont j'avais envie. Et la mère .. avec ses magnifiques cheveux blonds qui me regardait sans cesse comme si j'étais la plus importante dans ce monde, ce regard .. oui je l'avais vu durant les quelques secondes avant le choc dans l'arbre. Mon enfance était quelque chose de merveilleux, c'était dans mes souvenirs quelque chose de totalement doux, tendre et sucré. Il n'y avait aucun nuage dans mon enfance, ni même dans le reste de ma vie. Durant le défilement de ma vie, rien n'était sombre, rien n'était noir, tout n'était que couleur, douceur et strass. J'avais une vie de rêve et je ne pouvais en rien me plaindre et pourtant je trouvais toujours le moyen de trouver quelque chose qui n'allait pas. La couleur de mes draps de lits n'était jamais la bonne, mon dressing n'était jamais suffisamment plein et surtout je n'étais jamais assez belle. Et pourtant .. dieu sait que j'en rendais plus d'une jalouse avec le physique de rêve que j'avais. La nature m'avait totalement gâté, elle m'avait donné un regard vert émeraude, des cheveux blonds et légèrement ondulés, un sourire grand, blanc et parfait, un visage aux traits fins et délicats et surtout alors que les filles de mon âge se tordait l'estomac pour être svelte, mon corps lui était fin et élancé de nature. Mes formes étaient parfaites mais comme tous les filles de ce monde je trouvais sans cesse le moyen de penser que mes fesses étaient trop grosses et que ma poitrine n'était pas suffisamment généreuse. J'avais hérité de la beauté incroyable de ma mère, non pas que mon père était laid loin de là, mais la ressemblance maternelle était évidente bien que la couleur vif et profonde de mes yeux ne viennent de mon père. C'est d'ailleurs ce qu'il vantait sans cesse chez moi ; la pureté de mon regard.
Après l'enfance, dans la logique de la vie, vient l'adolescence et les premières complications. Durant l'avant choc, j'avais bien sûr vu le collège dans lequel j'avais étudié. Ce bon vieux collège qui hante mon esprit. Les premièresnvraies amitiés, les premiers amours et surtout les premières déceptions. Elles sont inévitables. Et puis les larmes aussi, lorsque mon petit chiot qui avait grandit en même temps que moi avait rendu la vie, écrabouillé sur la route pas une vilaine voiture, comme quoi peut être mon destin avait décidé d'emporter la vie avec cette invention humaine qui ne propage pas que la satisfaction à mon humble avis. Les interminables heures de cours .. celle ci aussi je les avait vu défilé, ça oui ! Et pas des moindres, à croire que l'adolescence est synonyme d'apprentissage, nous passons un temps fou assis dans cette salle, en face d'une personne qui prêtant pouvoir nous instruire, je n'ai jamais porté beaucoup d'importance aux études peut être tout simplement parce que j'avais d'immense facilités qui me permettait de faire abstraction des devoirs et des révisions le soir. Je n'ai jamais ouvert un cahier de ma vie chez moi comme vous pouvez le constater je m'en sors très bien. J'ai même, quelques années après le collège, et surtout après le lycée, obtenu mon diplôme et tout ça sans fournir le moindre véritable effort. Quand je vous disais que Dame nature m'a gâté. Voilà une infime partie de ce que j'ai pu voir durant la seconde qui à précédé l'accident. Par chance, j'échappe à la mort.
Diplôme en poche, le choix de mon université est vite fait. Depuis des générations, du moins depuis que la confrérie des Thêta Kappa Epsilon existe, les femmes de ma famille en ont été membres. Alors afin de ne pas fâcher ma mère et d'éviter des embrouilles interminables au sein de ma famille, et puis parce que du sang de sal*pe coule dans mes veines, j'entre dans l'université de Southern California. Ma réputation est déjà toute tracée ici, ma mère, ma tante, ma grand mère ont déjà fait le travail pour moi, et je ne peux que m'en réjouir. Je suis maintenant étudiante depuis 3 années ici et il faut dire que je ne suis pas prête de ternir la réputation des Ray.
HORS JEU
- C'est quoi ton ptit nom ? Et pseudo ? :Louise. & What Elsee.
- T'as quel âge ? : 17 ans.
- Ton avatar ? : Annalynne McCord.
- Tu a pris un poste vacant, scénarii ou tu là inventer ? :Poste Vacant (a).
- Fréquence de connexion ? : 6 /7 jours
- Où as-tu connu le forum ? :Avec celle qui joue John D. Fox.
- Comment tu le trouves ? : Le design est magnifique, il a l'air d'être actif, les gens on l'air gentil, bref il m'a l'air pas mal du tout
- Code du réglement ? : code ok'dak par coke
- Exemple de rôle play :
- Spoiler:
Mardi 29 Décembre. 23h06
« Les départs ne comptent pas, seuls les retours méritent des larmes. »
Le jet privé de Lewis survolait à présent les alentours de Madrillywood, Tyson à bord somnolait tranquillement. Repensant doucement aux dix jours qu’il venait de passer, loin de tout, loin de sa douleur, loin de sa vie espagnole et surtout loin de la drogue qu’il avait fait sienne quelques semaines auparavant. Ayant passé dix jours sur son île privé dans l’océan indien, Tyson avait abandonné la drogue, il avait bien évidemment suivit une cure de désintoxication avant son départ mais ce séjour exilé lui avait permis de confirmer son indépendance à la cocaïne qui ne n’aurait jamais réellement existé si il serait resté ici à Madrillywood, là où les dealers rodaient, là où dans les soirées l’alcool coulait à flots et surtout parmi sa gigantesque douleur qu’il apaisait justement grâce à la drogue. A des milliers de kilomètres de l’Espagne, perdu au fin fond de l’océan, isolé sur une île presque déserte hormis bien évidemment une immense villa de pierre blanche, un grand jardin décoré d’une belle piscine bleue azur Tyson avait passé une semaine et demi coupé du monde. Le reste de l’île n’était que forêt et plage. Aucun magasin, zéro voisin et surtout aucune trace de drogue. Un endroit parfait pour réfléchir mais aussi bien évidemment un endroit pour profiter du soleil, bronzé et prendre soin de soi. Tyson n’avait pas échapper à cette règle et avait passé le plus clair de son temps dans son maillot de bain gris et blanc de chez Barney’s à bronzer dans une chaise longue un cocktail de fruit exotique posé sur la petite table basse en acajou et le bruit rassurant des vaguelette de la piscine qui s’écrase doucement contre le rebord en marbre beige de la terrasse. Une sorte de paradis sur terre.
Mais ce qui avait rendu ce séjour encore plus délicieux était la douce présence de Selena. La seule et l’unique qui avait pris soin du jeune prince lorsqu’il sombrait dans les profondeurs de son esprit, ce dernier anesthésié par les innombrables vague de drogue qu’il recevait. C’était elle qui avait envoyé Tyson à l’hôpital quand son état était devenu trop critique. C’était elle aussi qui était monté à bord du jet le soir où Tyson avait décidé de déserter. Cela avait bien évidemment surpris le prince mais cela l’avait touché au cœur aussi directement qu’il n’avait rien dit. Il s’était contenté de sourire gentiment à la belle Selena mais son regard devait en dire beaucoup ce soir là, comme un merci infini, une reconnaissance incroyable et l’envie de la serrer dans ses bras pour toujours. Ce n’était pas de l’amour qu’il éprouvait pour la belle brune, mais une sorte d’attirance mêlée à un enthousiasme particulier. C’était inexplicable et tout ce que Tyson savait c’était qu’il n’allait pas passer des vacances seuls et qui plus est il allait être plus fort, il aurait une raison de ne pas replonger et bien évidemment ils auraient tout le temps de préparer leurs vengeances qu’ils devaient à une certaine Summers...
Le séjour avait été parfait, prenez une magnifique superstar mondialement connue à la classe naturelle ajoutez un prince drogué de la tête au pied mais possédant lui aussi une classe parfaite, mêlez le tout à une paysage paradisiaque et vous obtenez Sel&Ty, ou la classe & la magnificence. Selena était reparti pour Madillywood durant quelques jours, Tyson s’était alors retrouvé seul, mais aucune tentation ne s’était présentée à lui, et pour tout avouer il n’en éprouvait même plus l’envie. Ces quelques jours en solitaire lui avait permis de faire le point sur sa vie qui était loin d’être brillante. Il était amoureux d’Evanna, sa reine depuis toujours, mais cette dernière sortait maintenant avec un anglais à lunette... un pauvre type sûrement. Elle coulait de jours heureux loin de Tyson, elle semblait heureuse mais le jeune New Yorkais savait que ce n’était qu’en apparences. Plus jamais le roi et la reine ne pourraient être véritablement heureux. Ce beau temps était fini mais Tyson était bien décidé à reprendre son trône et rediriger le monde aux côtés de sa reine. Il était bien décidé à redevenir le véritable Lewis, celui qui était sans pitié, plus égocentrique que jamais. Il s’était rendu compte qu’il avait été trop gentil avec les autres. Il avait certes conservé sa réputation de coureur de jupons mais il avait été beaucoup trop abordable pour les gens normaux. Il avait perdu son trône mais il était bien décidé à le reconstruire et le faire mille fois plus grands qu’avant. Le Lewis qui allait revenir en Espagne allait être plus machiavélique que jamais. Il ne porterait dans son cœur qu’une infime partie de gens, c’est à dire Selena bien évidemment, Jackson son meilleur ami, Evanna sa reine et sa famille. Les autres seront blâmés et ignorés par le jeune prince. Il était Tyson Lewis, l’un des hommes les plus riches de tout New York, sûrement l’homme le plus respecté et peut être aussi celui à qui il manquait un morceau de cœur. Certes ses sentiments existaient, mais sa fâcheuse tendance à les refouler avait fait de lui un garçon dépourvu de sentiments aux yeux d’un bon nombre de Madrillywoodiens. Mais le peu de personne qu’il gardait dans son estime étaient celle qui savait que Tyson avait des sentiments, trop profonds pour qu’il les exprime mais que sa méchanceté et son égocentrisme naturel n’était qu’une façade, une sorte de masque pour cacher ses faiblesses. Bien sûr Tyson ne l’avouera jamais, il était à ses yeux, l’homme le plus puissant du monde, le plus classe et le plus respectable. (Quand je vous disais qu’il était égocentrique…)
Cette nouvelle motivation de dominé le monde avait vu le jour juste avant le retour de Selena. Elle était revenue sur l’île, afin de rester quelques jours, profiter une dernière fois du soleil de plomb de l’océan indien et accompagné Tyson pour le retour. Le jeune prince avait totalement changé, les cernes qui marquaient ses yeux avaient disparues, ses joues avant creuses avaient repris de la forme, la prunelle de ses yeux avait perdu le ton vitreux, et le contour de ses yeux habituellement rouge avait retrouvé une couleur plus naturelle. En plus d’un visage d’ange, sa peau avait magnifiquement bien bronzé, et son sourire déjà beau était devenu plus étincelant que jamais. Ses cheveux d’habitude très foncé avaient légèrement blondis parsemant alors sa chevelure souple de mèches d’or. Le charme de Tyson qui avait terni avec la drogue avait retrouvé toute sa vivacité et son éclat. Il ressemblait ainsi à un mannequin de pub d’après-rasage. Mais le seul détail qui n’avait pas changé était son regard. Toujours aussi profond et noir. Même détendu et calme son regard semblait lancer les flammes et dieu sait le nombre de flammes qu’il allait lancer à son retour. Il réservait les premières pour Summers.
Après avoir demandé qu’on leur rassemble leurs affaires, Tyson et Selena étaient montés à bord du jet de Lewis direction l’aéroport de Madrillywood. Le voyage avait été relativement rapide et le couple d’amis arriva à destination vers 23h. Le ciel de la ville était éclairé par la lune et les nombreux éclairages nocturnes de l’agglomération. Le jet atterri et la porte s’ouvrit déployant un escalier blanc. Tyson se leva alors de son siège. Il savait qu’ils allaient arriver de nuit, avant de partir il avait donc enfilé un jean Diesel, une chemise blanche Lacoste par dessus lequel il avait mis un pull débardeur gris de chez Les Best. Il avait accompagné sa tenue d’un foulard gris et bleu marine en coton fin de chez Ralph Lauren et bien sûr une magnifique paire d’aviator Rayban couvrait son regard sombre. Enfilant avant de sortir une veste noir Burberry, il apparu en haut des escaliers chaussé de Durch’s of London blanches et étant suivis de la belle brune. Bien sûr une horde de photographe était venue les accueillir. Une fois sur la terre ferme, Tyson attendit que Selena arrive à sa hauteur et ignorant un peu les paparazzis, il se dirigea vers la limousine noire qui les attendait. Le chauffeur leur ouvrit la porte puis laissant d’abord Selena entrer dans la belle voiture noire, Tyson adressa un geste et un sourire envers les photographes puis s’engouffra à bord de la limousine. La porte se ferma laissant alors aux photographes uniquement la vision des vitres teintés. La limo démarra et le jeune prince posa alors sur Selena son regard sombre derrière ses lunettes, et lui adressa un joli sourire blanc. Il savait qu’il avait retrouvé tout son charme et se sentait à présent plus fort que tout, aux côtés de la belle Selena, en quête de sa reine et assoiffé de vengeance, le nouveau prince arrivait plus méchant et plus déterminé que jamais à reprendre son trône et rebâtir son empire.
- Autres : =DD
Dernière édition par Maggie Y. Ray le Lun 1 Mar - 18:02, édité 4 fois |
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