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| Sujet: Ian J. Jackman Mer 23 Déc - 15:30 | |
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IAN JARED JACKMAN 22 ans ― & étude de musique né(e) à Phoenix (Etats-Unis , Arizona) Eta Xi Mu Moyenne générale : 72/100 Année d'étude : 5 ème
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Robert Pattinson
| i'm a real............................... Futé ; franc ; débrouillard ; indépendant ; honnête ; rancunier ; fidèle ; juste ; populaire ; ouvert ; |
the story you're about to read is true
La lumière en dehors était faible, la nuit venait lentement. Je ne pris pas la peine d’enclencher l’interrupteur, j’aimais particulièrement le noir. J’entrais dans ma chambre, modeste pièce où se chevauchés lit, bureau et armoire. Je n’avais pas encore eu le temps de ranger mes affaires, et mes trois cartons de déménagement gisaient sur le sol. M’abaissant, j’entrepris de les ouvrir. Je n’aimais pas spécialement le rangement, j’étais même le premier dans la catégorie des bordailleurs, mais je savais que si ma mère venait à entrer ici, j’aurais droit au discours habituel sur la propreté et l’organisation. Je commençais par placer mes vêtements dans la penderie, peu m’importait comment, je savais désormais où ils se trouveraient. Le deuxième carton contenait quelques CD que j’avais emportés, mes cahiers de cours, et d’autres choses encore. Tous furent assignés à une place, ainsi, j’étais sûr de tout recouvrer sans complications. J’avais décidé de m’occuper de la dernière caisse le lendemain, car, sans vraiment en comprendre la raison, je me sentis subitement fatigué. Mais une photo sur le parquet attira mon regard. Je la pris délicatement et m’assis sur mon lit. Je ne pus m’empêcher de sourire à la vue de ce moment gravé à tout jamais sur le papier glacé. Elle me représentait dans les bras de mon père. Ce dernier enlacé la taille de ma mère, placé juste à sa droite. Nous ressemblions à une vraie famille ; c’était de bien des façons différent, à présent… Ma mère m’avait raconté comment c’était passé le jour de ma naissance. Je m’étais pris à l’écouter, j’adorais encore maintenant l’entendre conter des histoires. Mon père au travail, elle s’était mise à nettoyer la maison de fond en comble, balayant chaque pièce, faisant disparaitre la poussière des meubles. Elle m’avait dit savoir que j’allais bientôt arriver, et nettoyer l’aidé à passer le temps. C’est lorsqu’elle eu terminée qu’elle appela mon père, lui disant le plus tranquillement possible qu’il devait rentrer, car si elle n’était pas bientôt à l’hôpital, elle allait accouché à la maison. Il paraitrait que j’avais mis assez longtemps à venir, je n’étais visiblement pas pressé de sortir de ma petite bulle de protection. Ainsi, j’avais été nommé Ian ; respectivement le deuxième prénom de mon père. Jared était le prénom que ma mère voulait m'attribuée au départ. Je vécu une enfance douce et heureuse, en tout cas, pour ce qui me reste en mémoire. Je me souviens avoir tout de suite aimé la musique ; mon père, guitariste à ses heures perdues, m’avait enseigné tout ce que je savais. Je vivais dans une famille d’artiste – ma mère est peintre et tenait une galerie d’art, à Phoenix et mon père était professeur de musique au collège – il était évident que, par la suite, j’en devienne un aussi. C’est ainsi que je voyais ma vie ; je répétais sans arrêt que je deviendrais musicien, que j’aurais un groupe, pourquoi pas, célèbre. C’était un rêve de gosse, un rêve qui me faisait vivre. Je n’étais pas très bon à l’école, ou, en tout cas, pas dans les matières scientifiques. Les mathématiques, peu pour moi. Je me souviens avoir adoré les heures de philosophie, au lycée. En parlant de ça, mon existence au lycée s’était plutôt bien passée. Je ne sais par quels moyens j’étais arrivé à cela, mais ma petite personne était devenue célèbre, populaire. C’est peut-être prétentieux de parler de moi ainsi, mais je pense que c’est la vérité, en quelque sorte. J’étais l’adolescent à la bande d’ami intouchable, qui organisait des fêtes mémorables, et tout ce qui s’en suit. Mon caractère franc et indépendant, je pense, avait plus à beaucoup de personne. Je vivais tout cela plutôt bien. Tout ça pour dire que ma vie avait bien démarrée. Je me couchais sur mon lit, et posait la photo sur mon torse. Maintenant, tout avait changé. Nous n’étions plus cette famille unie comme sur l’image. J’avais tellement vénéré mon père que je n’avais pas vu à quel point il faisait souffrir maman. Cette partie de l’histoire, personne ne la connaissait, mis à part ma famille. Personne n’était au courant que mon père avait, en quelque sorte, sombrait dans l’alcool. Un soir où il avait beaucoup bu, il s’en est pris à ma mère. J’avais alors quinze ans, et l’adolescent que j’étais deviné aisément que cela empirerait avec le temps. J’essayais de convaincre ma mère de divorcer, de s’enfuir d’ici. Mais ce n’est que quelques années plus tard qu’elle se décida à le faire. De peur qu’il s’en reprenne à elle, nous avons déménagé. C’est ainsi que j’ai atterrit ici, à Los Angeles. Voulant continuer sur ma lancé, j’ai commencé à étudier la musique. Ma mère s’en remet doucement, et je sais qu’elle compte sur moi. Jamais je ne la décevrais comme l’a fait mon père. C’est sur ces pensées mouvementées que je m’endormis. Demain serait un autre jour. Et je savais que, au plus profond de mon être, j’attendais l’avenir les bras ouverts.
- C'est quoi ton ptit nom ? Et pseudo ? : Mon prénom comme mon pseudo est Mia.
- T'as quel âge ? : Quinze ans.
- Ton avatar ? : Le talentueux et modeste Robert Pattinson. ( ;
- Tu a pris un poste vacant, scénarii ou tu là inventer ? : Post vacant.
- Fréquence de connexion ? : 3/7 jours, tout dépends de mon lycée, et tout le tralala.
- Où as-tu connu le forum ? : Je ne sais plus du tout, via d’autres forums partenaires.
- Comment tu le trouves ? : Plutôt cool !
- Code du réglement ? : Code correcte by Joe (:
- Exemple de rôle play :
- Spoiler:
Il y a énormément de fois le mot ' humain ', dans le texte. Je m'en excuse, il date un peu. Je n'ai pas pris le temps de le corriger. La forêt à perte de vue s’offrait à moi, tel un magnifique tableau de la Renaissance. Comment ne pas être impressionné par ce cadre d’une couleur uniforme, tacheté de noir par-ci par-là. L’immensité de ce terrain était à faire peur. Des maladroits si perdraient presque. Le paysage ressemblait à un gigantesque labyrinthe, où personne ne se retrouvait jamais. Exception mise à part. J’en avais finit depuis longtemps avec la peur de ne jamais recouvrait mon chemin. Mes sens sur-développés me permettaient d’y vivre. J’en avais déjà vécu l’expérience. Je sautais alors d’arbre en arbre, grimpant sur les plus hautes branches. Mes mains caressant les feuilles, découvrant d’innombrables textures. J’en aurais été presque émerveillé, si ma Vie ne m’avait pas fait découvrir le touché le plus doux au monde. Celle qui, à mes yeux, était parfaite. Personne ne pouvait être comparé à elle. De toute ma vie, je n’ai connu quelqu’un d’aussi surprenante qu’elle. Une personne unique, et qui le resterait dans mon cœur, pour l’éternité. Le vent soufflait doucement, frappant mon visage blanchâtre. Mes yeux fermaient, je respirais la liberté. Une chose que j’admirais beaucoup. Je vérifiais, essayant de trouver un danger. Mais il n’y avait rien à l’horizon, juste les bruits des animaux, vivant dans cette forêt. Les oiseaux, si nombreux, volaient au dessus de ma tête, traversant le ciel bleu clair. On n’y voyait encore quelques nuages, assez épais pour ne pas laisser le soleil les franchir. J’étais bien heureux de ne pas avoir à me cacher – ou alors, juste un peu – des autres humains, qui pourraient arpenter les environs. Nous autres n’étions jamais à l’abri de voyeurs un peu trop curieux. Je sautais sur un autre arbre, plus petit que le dernier, sans le moindre bruit. Question discrétions, nous étions les meilleurs. J’observais l’horizon, en quête d’une proie facile. Je n’étais pas d’humeur à tuer un gros animal. Ainsi, un puma sera épargné. L’oreille au agai, je repérais la bête. Je réfléchissais au temps que j’aurais mis pour arriver jusqu’à elle ; pas moins de trente secondes. J’étais assez rapide, même plus que les membres de ma famille. Peut-être l’étais-je lors de mon ancienne vie, lorsque j’étais encore un humain. Je me laissais tomber, touchant le sol avec l’agilité d’un vrai félin. Personne n’aurait pu m’entendre. Sans perdre de temps, je fonçais vers ma victime à une vitesse ahurissante. Aucun humain n’aurait pu m’apercevoir, ou du moins, n’aurait pas pu m’identifier en tant qu’être humain. Plus vite que je ne l’avais dit il y a peu, j’arrivais devant l’animal. Il ne m’avait même pas sentit venir. Avec force, j’entrepris de l’enfermer dans mes bras de fer afin de l’immobiliser. Ses jambettes, beaucoup trop fragiles, s’agitaient dans tous les sens, arrachant des touffes d’herbes sur le sentier. Sans plus attendre, je plantais ma mâchoire dans son cou avec une facilité déconcertante. Alors, il n’y eu plus aucuns bruits que le son de ma gorge, buvant le liquide que contenait alors la dépouille de l’animal. Le goût n’était pas mauvais, mais pas meilleur que celui d’un puma en alerte. Je n’essayais pas d’imaginer celui d’un humain… ce goût était inégalable… Unique. Un vampire niant ce fait était un grand menteur. Lorsque j’eusse finit, je laissais le corps à terre. Il n’y avait aucune goute de sang, pas même un pli sur mes vêtements. J’avais appris, avec le temps, à me nourrir sans créer de dégâts dont je me serais passé. Repu, je pris une bouffée d’aire, inspirant l’air frais jusqu’à mes poumons. L’expirant avec soulagement. Je repensais alors à Bella. Elle faisait souvent ça lorsqu’elle était stressée. C’était un moyen comme un autre de se sentir mieux. Mais ça n’avait pas grand effet sur moi. Peut-être parce que je n’avais pas vraiment besoin de ça. Quoi qu’il en sorte, je repartis, laissant le reste de l’animal là. Personne ne pourrait en conclure qu’un vampire était passé par ici. Après tout, les vampires n’existent pas, dans le monde des humains. Satisfait de mon après-midi, je courrais à travers les arbres, grimpant sur les gros rochers qui jonchait le sentier. Je ne savais pas vraiment où je me rendrais, maintenant. Que faire, lorsque l’on a la vie devant vous ? Ou plutôt devrais-je dire ; l’éternité devant moi. Si j’avais pu, ce jour là, guérir de cette horrible maladie, jamais, ô grand jamais, j’aurais laissé Carlisle me transformer en ce monstre que j’étais à présent. Je déteste tant ce que je suis. Mais il n’y a aucun remède pour devenir celui que j’aimerais être. A savoir, un être humain, comme tous ceux qui peuplent la Terre. J’aurais aimé être comme Bella. Vivre avec elle, vieillir avec elle. Et un jour, mourir avec elle. J’aurais voulut vivre une vie paisible, dans ses bras à elle. Pouvoir rêver. Comme elle. Mais plus rien n’est possible, maintenant. Tête baissée, je marchais. Je m’étais moi-même attristé. Quel imbécile je faisais ! Soudainement, sans que j’en sache la raison, une voix me parvint. Ou plutôt, un souffle. Un humain ? Possible, nous étions en pleine après-midi, et les habitants de Forks n’étaient pas contre une petite balade en forêt. Cependant, la pluie me fit penser tout le contraire. La pluie ; un élément de la nature que je déteste au plus au point. Les nuages me convenaient parfaitement, mais rien n’était parfait ici, sans une bonne journée de pluie incessante. Je me penchais alors, voulant mieux entendre. Les gouttelettes de pluie claquaient contre les feuilles des arbres, et m’empêchaient de localisé la respiration que j’avais entendu. Elle semblait plus au Nord, non loin d’où j’étais. Curieux, j’avançais dans la direction, restant bien caché. Personne n’avait à savoir que j’étais ici. Ah, la voilà, ma respiration. Je fus surprit de trouver cette jeune fille, nouvelle à Forks. Elizabeth Colleen, si ma mémoire ne me jouait pas des tours – ce qui était très, très rare. Elle semblait terrorisée. S’était-elle perdue ? Probablement. Ses mains tremblaient, et ses yeux émeraude allaient de-ci de-là, cherchant d’où venaient les bruits de la forêt. Ses cheveux presque blonds collaient son visage. Apparemment, la randonné – et la pluie – n’était pas son fort. Puis, une question me vint en tête ; que devrais-je faire ? La ramener ? Mon côté « sauveteur » me disait que ce serait aimable de ma part, mais l’autre partie de moi me dictait le contraire. Que lui dirais-je ? Que j’étais venu me nourrir ? Ironie bien sûr. Jamais je ne lui dirais une telle chose. Mon cerveau se mit à réfléchir, alors qu’un cri horrifié trancha le silence qui régnait en ces lieux. M’avait-elle aperçu ? Non, mais sans m’en rendre compte, je m’étais approché un peu trop d’elle, et les buissons où je m’étais installé bougé à mes gestes – pourtant si discrets. Je ne savais que faire. Me montrer était trop risqué. Mais la laisser là, seule, … me répugné. J’avais été si bien élevé. Comment pouvais-je faire une chose pareille ? Une idée me vint à l’esprit, et je m’avançais vers la gauche, voulant arriver par l’arrière. Lorsqu’elle fut dos à moi, je franchis les feuilletages, en faisant mine d’être épuisé. J’étais très bon pour la comédie. « Ah enfin je trouve quelqu’un. Mon Dieu, tout va bien ? » Tout compte fait… je n’étais pas très sûr de m’en sortir. Je détestais tellement mentir que tout pouvait flancher au moindre excès.
- Autres : Non, madame. – ou Monsieur, hein.
Dernière édition par Ian J. Jackman le Jeu 24 Déc - 0:10, édité 2 fois |
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