Tu crois te débarasser de moi ainsi ? || Beverly

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Les études commençaients a me peser de plus en plus. Je savais que médecine était un domaine lourd en étude, encore plus dans les spécialisation tel que le diagnostique ... Mais franchement, y a-t-il vraiment un médecin sur terre qui peut retenir toutes les maladies accompagnées de touts les symptôme qui varient selon les personnes ? Bien que ce soit difficile j'adorais ça. Je suis masochiste apparement, parce que moi j'aime bien passé des nuits blanches devant un livre bien que je finisse toujours par m'endormir dessus et a avoir des cerne si grosse qu'on dirait qu'un éléphant m'as marcher dessus pendant mon sommeil

.

La bibliothèque était plus que silencieuse. J'aurais pu entendre une aiguille tomber a l'autre bout de la pièce et ça aurait probablement raisonner comme si on avait frapper sur une casserole avec un cuillère de fer. Mon apparence était en ce moment trompeuse. Les mains qui soutiennent le poids de ma tête qui me parait aussi lourde qu'un train de cargaison, le nez baisser ves le livre et les yeux qui semble fixer sur les pages mais qui sont en fait complètement fermer. Je suis si près du someil ... J'en approche je sent mon corps pencher vers la gauche. Trop lâche pour le remonter me reste plus qu'a tomber sur le sol. La honte ne m'as jamais dérenger. Je m'organise tout de même pour ne pas faire trop de bruit. Je me sens libéré lorsque mon épaule droite touche en fin le sol. Je restai là quelques seconde et je me remis sur mes pieds, epoussetant mes vêtements maintenant plein de poussière de vieux livres. Je refermai tout mes livres et alla les rangés. Lorsque je me retournai je bousculai quelqu'un ... Ou plutôt quelqu'une.

"

Dés... Encore toi ? Je devrais peut-être t'attacher et te jeter dans le placard a balais pour ne plus te rentrer dedans...

" Dis-je d'un ton humoristique sachant qu'elle n'allait surement pas rire.

Cette fille m'as toujours détester. Du moin depuis sa première année ici. Je l'avais accidentellement bousculé, ça ne devais pas être sa journée parce qu'elle n'as jamais oublier. Ça m'as d'ailleurs toujours fait marrer de la voir se frustrer a chaque fois qu'elle me voit. Je tournai les yeux vers son visage qui affichait plus l'envie de meutre que la sympathie.

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Je suis encore en retard. En ce moment, je suis tout le temps en retard. J'en ai ma claque d'être en retard! Mais je n'y peux rien.. Les cours me bassines et les appels incessants d'Aaron qui s'excusent pesent lourd sur mon système nerveux et sur mon moral. Alors je hante dans ma chambre. Je dors pratiquement toute la journée et partout. Mais aujourd'hui, bizarrement je suis de bonne humeur. Miracle sachant que ces derniers jours j'ai envoyé balader au moins une cinquantaine de personne sans prendre la peine de m'excuser. Peut-être devrais-je le faire, je suis vraiment une sale chieuse quand je m'y met.
Ce matin donc, je suis en retard. Jusque là, rien de très neuf et rien de très impressionant. Je ne me dépêche même pas. LEs profs ont l'habitudes que je sois en retard à leur et cours et je crois qu'avec tous les élèves qu'ils se coltinent dans l'amphi, ils n'y prettent même plus attention. Je me lève doucement de mon lit, encore tout engourdie, regarde l'heure et soupir. Je suis de bonne humeur et c'est tout ce qui compte. Je traine les pieds jusqu'à la salle de bain et me glisse sous l'eau chaude. J'adore rester sous la douche pendant des heures. C'est destressant et ça me fait un bien fou. Lorsque j'y reste vraiment longtemps, sous de l'eau brûlante, je peine à respirer et j'adore cette sensation de manque. Mais ce matin, je n'ai pas trop le temps, alors, un quart d'heure plus tard, je quitte ma douche à contre-coeur, enroule une serviette sur mes cheveux, une autour de ma poitrine et retourne dans ma chambre, face à mon armoire. Question crutiale, que vais-je me mettre? J'opte pour un slim en jean qui moule particulièrement bien mes formes, un tope noir que j'associe avec un petit gilet gris. Des bottines à talons, une écharpe légère. Je n'ai pas l'intention de trop sortir des bâtiments alors, je met simplement ma veste en cuir noir.
Je prends à la vas-vite mon sac à main où je fourre un crayon, mon carnet de dessin et je file pour mon cours "D'histoire du dessin". C'est génial. Ironie. Enfait cette matière est sympathique mais elle m'endore. Mais bon. Puisqu'il le faut pour perser dans le metier.. J'arrive à 5 minutes de la fin du cours et les seules paroles que j'entends sont ... " Très bien, vous me ferez tous un dossier complet que vous me renderez dans deux semaines." Merde. Je m'approche d'une amie et lui demande ce que nous devons faire. Elle me répond bien gentillement que nous devont créer un dossier sur le dessinateur de notre choix. REgénial. Je crois que je vais me suicider. Enfin bon, puisqu'il le faut..
Je n'ai pas cours jusqu'à cet après-midi alors, je file à la bibliothèque. Plus vite ce maudit dossier sera fait, plus vite je serai tranquille. Arrivée là, je regarde autour de moi. Personne à part un débile qui dort par-terre. Sans savoir que ce fameux débile est enfait Zachary, je vais directement au rayon qui m'interesse. Là, j'observe plusieurs couvertures de livres et prends celles qui me plaisent le plus. Ouais, je choisis un livre à sa couverture. Ca ne m'a jamais porté préjudice alors, je continue.
Alors que je reviens vers le milieu de la bibliothèque où sont rattroupées plusieurs tables, je regarde laquelle pourrait me convenir et.. Un imbécile me pousse. Heureusement, mes livres ne sont pas tomber. Je reprends mon équilibre et entend une voix familière. ET MERDE. Pourquoi cet idiot est toujours aux endroits où je me trouve? Je me sens bouillir. Et sa réplique me rends rouge de rage. Ce sala** m'avais bousculé un jour, où j'étais en première année, devant tout le monde et plus particulièrement ses potes. Ils s'étaient foutus de moi et en plus de ça, rien n'allait dans ma vie. Autant dire que depuis, dès que je le voit, j'ai envie de l'étrangler.
Il faut que je me calme. J'ai envie d'être sympathique aujourd'hui. Ce débilos ne va quand même pas me gâcher ma journée! La seule depuis des semaines où je me sens bien!

" Ou bien je te mets dans un placard à balais afin que tu ne me rentre plus dedans! "

Je lui fait un clin d'oeil. Ouah, jamais je n'aurais pensé faire ça un jour. Enfin n'abusons pas non plus. Après ça, je m'en vais. Je le regarde un moment puis, je tourne les talons et vais m'assoir à une table. J'ouvre un des livre et regarde, l'air passionnée les images à la recherche d'un dessinateur qui sache m'emporter par ses dessins...

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"

Naa mais attend ! C'est de l'humour que tu vient de faire ? Moi qui s'attendais au fameux : Dégage espèce d'idiot ... On s'est levé du bon pied apparement

" Dis-je avec un sourir ravis.

Les occasions où elle ne me lançais pas un regard meurtrier qui veux tout dire. Peut-être qu'elle s'était fait enlever par els stra-terrestre qui lui on fait un sérieux lavage de cerveau. C'était tellement rare que je cru presque a mon hypothèse. En plus, je ne me souvient même pas de ce fameux jour. Je l'ai bousculer ça je le sais ... Mais je bouscule tout le monde a longeur de journée. Je ne me suis quand même pas servit d'elle comme paillasson, je ne suis pas encore cruel a ce point.

"

Dit, ce fameux jours, J'ai fait quoi pour te mettre si en rogne que deux ans après tu n'ai toujours pas oublier ?

"

Les rayons du soleil plombait. Malgré le fait qu'on soist en février, la chaleur de la bibliothèque était surprenante. Apparement, mettre mon pull de matin n'était pas l'idée du siècle. Je remontai les manches question de faire croire a mon cerveau qu'il faisait moin chaud , pas très fructueux. J'imagine que se mentir a sois-même sur ce sujet n'as jamais été très fructueux.

Je scrutai la bibliothèque du regard. Un mec qui avait ouvert un bouquin qui n'avait pas l'air super lu ce pris un magnifique nuage de poussière qui le fit éternuer. Une fille avec des lunettes si épaisse qu'on dirait des téléscopes lisait un livre aussi épais qu'un brique mais qui avait tout de même l'air interessant. Un roman de Stieg Larsson ... En suédois puisque je n'était même pas capable de faire semblant de prononcer le titre avec des trémat sur n'importe quelle lettres. Études en langues surement. Dommages qu'elle ai besoin de ces téléscope, elle serais surement très mignone sans.

Beverly commença son récit (Oui je me rappelle de son nom, quand quelqu'un nous haïs ainsi on ne peut l'oublier) et me tira de mon analyse aussi utile et subtil qu'un éléphant dans un jeu de quilles. Lorsqu'elle eu terminer je pris a paroles.

"

Tu crois que c'est trop tard si je fond en excuses deux ans plus tard ?

" demandais-je.

[HJ: désoler c'est un peu minusse c'est que le premier qui était long c'est éffacer grace a un bug internet T_T]

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Je suis très fière de moi? J'ai sus rester très calme face à cet imbécile de Zac et ça m'amuse. Je ne peut m'empecher d'esquisser un petit sourire satisfait sur ma frimousse avant d'aller m'assoire à une table, seule. D'habitude, lorsque je crois Zachary, je le mitraille de mes yeux vert et lui lance toutes les insultes possibles et inimaginables. C'est nul je sais mais je ne peux pas m'en empêcher. Cet idiot m'a fait tomber lorsque mon morale était au plus bas et en plus de ça, il s'est foutu de moi avec ses potes. Je sais bien que généralement les mecs en bandes sont tous comme ça mais à la base, je trouvait Zac plutôt gentil et même très mignon..
Je le voit s'approcher de moi et je suis satisfaite interieurement. Me faire désirer, j'adore ça. Et il joue le jeux à merveille. Je passe sensuellement une main dans mes cheveux. Ben quoi? On a pas le droit de plaire à un mec que l'on déteste?

" Oui, pour une fois je suis de très bonne humeur. Alors s'il te plait ne gache pas tout avec tes idiocies et ta maladresse légendaire. "

Je soupire. Ce mec est un boulet, c'est hallucinant. Mais j'aime m'amuser avec lui. Enfait, notre reation est un peu basée sur le "Fuis-moi je te suis, Suis-moi je te fuis". Et ça m'amuse. Celà dit, je n'oublie pas ce qu'il m'a fait. Et étant rancunière, j'attends un truc monumental d'excuse avant de lui pardonner un peu.
Je croise les jambes et le regarde dans les yeux. Sa question me trouble. Finalement je baisse les yeux. Je n'ai pas envie qu'il voit qu'en fait, je suis faible. Il ne doit pas le savoir, ça le rendrait bien trop heureux je crois.. Mes yeux s'embrument. Je me souviens de ce jour comme si c'était hier. J'étais tranquillement en train de marcher dans l'herbe du campus. Le matin même je m'étais encore pris la tête avec Aaron et rien n'allait. Sans me voir, il s'était reculé, riant comme un âne à une blague d'un de ses pote et.. Paf. Je suis tombée à terre d'une façon pas réellement féminine. Qu'il soit venu me tendre la main, je ne lui aurait rien dit et je crois que je lui aurait même pardonné immédiatement. Mais au lieu de ça, il s'est approché, à rit de plus belle et a sortit de belles beudes à mon égard.
Je relève à peine les yeux et les rebaissent. Ce mec me déstabilise. Un grand blanc vient de s'installer. Je me racle la gorge et fait un leger sourire.

" Tu m'as humiliée devant tes potes. Tu es immature Zac. "

Ouahou premièere fois que je l'appelle par son prénom. C'est fou ça, tout arrive. Et mais, oh non! Je sens une larme couler sur ma joue. Il ne faut pas. Je l'essuie du revère de la main et me lève. J'ai envie de partir en courrant ou me faire la plus petite possible afin qu'il ne me voit même plus. Au lieu de celà, je reste plantée devant lui les yeux pleins de larmes. Pourquoi me rappelle-t-il tant mon Aaron.. Sans prendre la peine de le regarder, je marche tranquillement jusqu'à une étagère pleine de livre. Avant de partir, je lance tout de même un :

" Je ne sais pas. Essais toujours, peut-être que tu y arriveras. Mais sache que je n'ai pas besoin d'excuses immatures comme tu l'es. J'espere qu'en deux ans tu auras muris un peu."

J'observe la couverture des livres me rappelant Aaron. Son visage, ses cheveux, ses yeux.. Il est presque le portrait craché de Zachary. Un frisson parcourt mon échine. J'ai très froid d'un coup. Pourtant le soleil tape fort sur les baies vitrées de la bibliothèque.

HJ : no soucis, ton post est très bien t'inquiètes (:

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Beverly était allée s'asseoir a sa place avec son bouquin. Si elle cropyait que je partirait ainsi alors elle se fourre le doigt dans l'oeil jusqu'au coude.

"Oui, pour une fois je suis de très bonne humeur. Alors s'il te plait ne gache pas tout avec tes idiocies et ta maladresse légendaire. "

"Puisque je suis moi aussi, et comme d'habitude, de très bonne humeurs je vais prendre la remarque comme un compliment"

Effectivement rare était les fois ou la mauvaise humeur pouvait m'attaquer. Je suis un peu comme une brosse a dent contre la gingivite sauf que moi je suis la brosse a mauvaise humeur ... Bon d'accord c'est nul comme comparaison mais s'il vou plaît, après six heures de révision je n'ai que des paillettes dans le crâne ... Et surement quelques bout de cerveau ici et là ... Mais je m'égare.

Elle croisa les jambes et me fixa droit das les yeux. J'en fus presque destabiliser, mais orgeilleux, je ne montrai absolument rien et elle finit par les rebaisser après ma question. Ses yeux s'embuèrent. Non ... Pas ça ... J'vous en pris. S'il a bien une chose que je ne supporte pas c'est de voir un fille pleurer, encore pire lorsque j'en suis la cause. J'avais du être vraiment pas sympa pour que ça l'affecte a ce point.

" Tu m'as humiliée devant tes potes. Tu es immature Zac. "

Oui ... Ça me revient ... Je me souviens aussi des trcs stupides que j'avais pu sortir sur sa chute. Elle avait aussi utiliser mon prénom, ce qui me toucha je doit l'avouer. Après tout ça fait différent de tout les synonymes de idiot.

"

J'étais ...

"

C'était vrai ... J'avais arrêter de me tenir avec les mecs idiots de mes premières années ici. Une larmes coula sur sa joue, elle l'essuya aussitôt et se leva.

" Je ne sais pas. Essais toujours, peut-être que tu y arriveras. Mais sache que je n'ai pas besoin d'excuses immatures comme tu l'es. J'espere qu'en deux ans tu auras muris un peu."

Elle alla vers une étagère a la recherche de je-ne-sais-quoi. Elle aurait des excuse dignes de ce nom. Je me mis a genous devant elle et commença d'une voix beaucoup trop forte pour une bibliothèque ;

"

Beverly Hilton, Je tiens a faire mes excuse devant ce public qui compte

(je me retournai pour les compter)

10 personnes, pour ce que je t'ai fait subir lors de ta première Année ici.

"

J'avais l'air de la vénéré, ou de la supplier, ce que je faisait vu sous un certain angle.

"

J'aurais aimer avoir un plus grand public mais la bibliothèque n'est pas très populaire comme endroit...

" chuchotais-je.

Je restai ainsi jusqu'as ce qu'elle parle. Je n'Avais pas hont, puis même si, le riddicule n'as jamais tuer personne. Ce n'Est pas une chose qui m'éffraie. Une fois, a la cafétéria de mon Lycée, j'Avais danser la macaréna sur une table, tout le monde s'était bien marrer mais avec moi et non pas de moi puisque je n'avait pas l'air gêner du tout.

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Je suis devant mes bouquins et je fais semblant de chercher un livre imaginaire. Ce garçon m'exaspère. Je suis même sûre que depuis le temps, il a oublié ce qu'il m'a fait. Et ça, c'est encore pire, je crois. J'essuis mes yeux du revers de ma manche en espérant qu'il e m'est pas vu et continue ma recherche.
Puis, je le vois arriver. Que me veut-il encore? C'est qu'il est coriace ce mec.. Je me retourne, croise les bras afin d'avoir l'air un minimum crédible et sérieuse, fronçant les sourcils afin de parraître euh.. méchante? Je le dévisage et le voit se baisser. Que fait-il? Oh non, pitier. Il se met à genoux et s'excuse. C'est trop mignon... J'ai failli croire qu'il allait me demander en mariage, mais non. Mais tout de même, ce mec à changé en deux ans, il faudrait que j'essais de le comprendre et de me le mettre dans le crâne..

" Relève-toi, idiot ... "

Et je lui tend ma main afin de l'aider à se relever. Je me retrouve devant lui, tout près et hume son odeur. J'aime bien son parfum, un parfum hyper masculin comme je les aime. Je le regarde dans les yeux, quelques secondes puis me recule. Hum, Calme-toi Beverly et refoule un peu tes pulsions. Certes ce mec est hyper attirant, certes tu es légèrement en manque d'affection mais tout de même!

" Je crois, que tu es tout pardonné. Alors hum ... Amis ? "

Ou plus? Nan, tais-toi Beverly, t'abuses. Chut allez! Je croise les bras et le regarde un joli sourire sur les lèvres. Après tout, on fait tous des erreurs et puis, Zac à murit. Ca se voit. Déjà, il est bien plus séduisant qu'avant. Ses cheveux lui descendent sur le visage et lui donne un côté hyper viril. Son visage est plus murt, plus assagit et cette barbe de quelques jours lui donne un côté super craquant. Et ses yeux.. Des yeux ennivrants qu'on aimerait ne pas quitter. Et je devine un corps parfaitement sculté sous ces habits chauds. Enfin bref, le voilà tout pardonné.
Après ce moment de honte, il peut retourner s'assoir s'il veut. Quant à moi, je lui tourne le dos et fait de nouveau semblant de chercher un livre. Je refoule mes envie en soupirant et, tout en faisant semblant de chercher, je regarde une des couvertures d'un livre et.. ça n'arrive qu'à moi ces choses là. Nous sommes dans le rayon anatomie.

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" Relève-toi, idiot ... "

Elle me tendis la main pour m'aider a me relevé. Bien que je n'en eu pas tellement besoin de m'en saisi tout de même pour aucune raison apparente. Je me retrouvai près d'elle. Si près que je pouvais la sentir respirer. Je pouvais aussi sentir son odeur que je n'arrivais, malré tout mes efforts, pas a identifier. Puis elle recula un peu, je souris.

" Je crois, que tu es tout pardonné. Alors hum ... Amis ? "

"Amis !" affirmais-je fier d'Avoir réussi a me faire pardonné.

Mon sourire s'étira jusqu'a laisser voire mes dents droite et blanche, chose due grace aux bagues que j'avais eu adolescent. Dieu sais combien de ballon je me suis pris dans la tronche des espèce de brutes qui se croyait drôle en m'arrachant les boîtiers ... Je les avaient eu trois ans au lieux d'une seule année. Mais le résultat en avait valu la peine.

Beverly se retourna vers les livres espérant probablement que je partirais sans rien ajouté, mais non. De plus, je n'avais plus de cours de la journée. Beverly regarda les reliure de livre et pris un air décourager. Je me retournai et pigeai un livre. L'atlas de l'anatomie.

"Hmm ... Avoir su que tu me mènerais exactement au livre que je cherche depuis le début de la semaine..." Dis-je en gardant le livre précieux dans mes mains.

Je l'avais tellement chercher. Les examens de médecines arrivaient a grand pas et tout le monde s'était précipité pour avoir son exemplaire. Moi, naturellement toujours un peu a la retardé, j'était arrivé une heure plus tard, plus un seul depuis la bibliothécaire, c'est mon jour de chance.

"Quel travail que tu as a faire ?" demandais-je, sachant pertinemment que personne de l'Université, pas même les geek, ne venait a la bibliothèque seulement pour "s'amuser".

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Il ne faut pas croire, tout de même, je garde une certaine rancoeur. Oui, je sais, je suis horriblement rancunière et Zachary ne s'en sortira pas comme ça! Après tout, je ne sais plus qui a sortit ça (mais je l'aime beaucoup) "La vangence est un plat qui se mange froid!". Mouahaha. Je serre la main de Zach dans la mienne et le relève, même s'il aurait très bien pu se relever tout seul mais tout de même, à genoux devant moi, pour moi, c'est hyper gênant! Près de moi, je sens Zach' respirer. Il est calme alors que moi, mon coeur bas la chamade. Cet homme est fou. Puis, je me retourne faisant semblant de chercher un livre histoire que maintenant, il me lache ce qu'il n'a pas trop l'air de vouloir faire. Enfin, j'entend Zachary me dire que je suis face au livre qu'il cherche depuis bien longtemps. Je me racle la gorge, lui sort de l'étagère, lui donne.

" Oh euh, ravie de t'avoir servie à quelque chose! " Lui dis-je avec un leger sourire.

Je retourne vers ma place, débarasse un peu tous les livres que j'ai étaler sur la table où j'étais assise et lui désigne la place en face de moi. Puisqu'il faut travailler, autant le faire sans être seule, avec une assez bonne compagnie. J'ouvre un livre au hasard et regarde d'abord les images. Ah, des portraits. J'adore ça, c'est ce que je préfere dans le dessin. C'est vivant et ils ne sont jamais pareils même si l'on prend la même muse. Ces portraits là sont totalement inventés apparament. Eh ben. L'auteur en a eu du courage, j'ai très envie de l'applaudir mais je me retiens, évidemment. Puis, Zach' me tire de ma contemplation. Je le regarde, pose mes yeux dans les siens et lui souris.

" J'ai un exposé à faire sur un dessinateur. Mais j'ai horreur de ça alors d'abord, je choisis les livres qui ont de belles couvertures, ensuite je regarde les dessins présentés et après seulement je regarde de quels dessinateur ils ont été extraits et je base mon exposé sur ce dessinateur. A l'instinc en fait. "

Je souris comme une gamine contente d'elle et retourne à mes dessins. Tout en les regardant, j'entend Zachary tourner les pages de son livre. Alors, je releve la tête.

" Et toi, que fais-tu ? "

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JE CLOTURE LE SUJET.
Nous en referons un quand tu auras plus de temps Zac' (:

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