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 |  Sujet: Andrew // Lun 14 Déc - 21:02 | |
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Andrew Gordon Pitt
19 ans ― étude de langues
né à Las Vegas, Nevada, Etats-Unis
Gamma
Moyenne générale : 53/100
Année d'étude : 2 éme
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i'm a real...............................
malin ; volage ; agressif ; rebelle ;
anticonformiste ; têtu ; fière ; impulsif ; indépendant ; naturel ; loyal
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the story you're about to read is true
 I was alone, staring over the ledge
Trying my best not to forget
► La journée avait été longue, pénible. Pour se vider la tête, Andrew décida de s’aérer un peu, profitant de la brise qui lui soufflait au visage, avant de remonter dans sa chambre. Il n’avait pas écouter grand-chose de ce qui lui avait été enseigné aujourd’hui. Les études commençaient sérieusement à lui taper sur les nerfs mais fallait tenir bon … Une fois lassé du vent qui soufflait, il entra dans sa chambre. Il était déjà tard, le temps avait filé tel un éclair depuis la dernière heure de cours et la nuit tombait déjà. Allongé sur son lit, il essaya de s’endormir … en vain. Fixant le plafond, il songeait. Il attrapa sa veste et entreprit de sortir un join histoire d’avoir les idées flous et peut-être de somnoler un peu… Ça ne lui arrivait pas souvent de repenser à toute sa vie, cependant, alors qu’il fixait toujours le plafond, il l’a vit … Las Vegas, la grande, l’unique, la ville de tout les plaisir et de la luxure. C’est là-bas qu’il est né, au milieu des Casinos et de la bonne société en partie. Andrew Gordon Pitt. Petit garçon issue d’un monde modeste mais proche tout de même des jouissances que pouvait offrir une vie de noblesse. Voilà maintenant 19 ans qu’il était sur cette terre, et même si il n’a pas vécu d’innombrables aventures, il n’a pas eu à se plaindre. Il passa une enfance heureuse, sans se plaindre de quoi que ce soit. Ses parents lui offrait le nécessaire pour qu’il vive comme les garçons de son âge. Ni trop gâté, ni trop limité. Il se plaisait de grandir dans cette ville, cette ville où l’ont se croit tout permis. En repensant à ce qu’il lui ai arrivé de faire endurer à ses parents, un sourire se dessina sur ses lèvres. Il leur en a fait voir. Se cacher derrière des machines à sous alors qu’il était interdit d’y pénétrer, se goinfrer aux buffets à volonté sans avoir même payé, escalader la petite reproduction de la tour Effel, se baigner dans l’eau du Venetian… et tant d’autres choses. Repensant à tout ça, le sourire qu’il avait déjà de marqué, s’élargit encore. Le temps de l’innocence était maintenant bien loin et les responsabilités arrivaient à grand pas bien qu’il n’était pas près à les affronter. A l’adolescence, il continua d’en faire voir à ses parents. Touchant à la drogue, douce d’abord, un peu plus dur après. Mature dans sa tête, il compris vite qu’il faisait une erreur mais ne pu se séparer de son herbe. Encore maintenant, il en porte toujours sur lui. Secourant la tête il tira une latte sur le bâtonnet fumant qu’il tenait entre les doigts et repartit de plus bel dans ses souvenirs. Au collège, il traînait avec des rebelles, en étant un lui-même, repoussant l’autorité et refusant de se plier à la conformité. Ce qu’il voulait, c’était la libération des chaînes qui nous lient à l’oppression du gouvernement. Le contexte était pur, simple, vrai. Il a allumé en lui ce qu’il était vraiment. Pour rien au monde il ne changerait ses valeur. Malheureusement, il a dû quitté ce monde il y’a 2 ans, lorsqu’il a fallu entrer à l’université. Ses parents ont, comment dire ? Jugés meilleur pour lui qu’il fasse ses études dans une autre ville. Il n’a pas vraiment compris leur motivation à le faire partir, mais il n’a pas bronché pour autant, là-bas ou ici, quelle importance ? Ses parents ont sans doute pensés qu’il valait mieux l’envoyer en Californie, mais ils se sont trompés. C’est exactement la même chose ici, et Andrew savait très bien que le faite de changer d’état, ne le fera jamais changé lui-même. Il n’a jamais été un mec bon sous tout rapport et hyper populaire, d’ailleurs c’est exactement ce qu’il veux éviter. Les prout prout ma chère, ce n’est pas pour lui. En entrant dans l’Université que ses parents avait gracieusement choisi, il ne se découpa pas en quatre pour savoir vers quelle fraternité il allait se tourner. Les Gamma et rien d’autres. Il suivait le même chemin qu’il avait emprunté à son entrée dans l’adolescence. Désormais il s’est fait une place dans cet état. N’ayant jamais sût ce qu’il voulait faire plus tard, il se complait à suivre un chemin qu’on lui avait tracé. Si il s’était écouter lui-même, il serait à l'affut des salles de concerts et n’aurait même pas intégré une université. Côté fille, car il faut bien repenser à cette partie, il n’a jamais été très fidèle. Andrew a dû mal à trouver LA fille qui le fera se tenir droit, il ne peut s’empêcher d’aller voir ailleurs, à croire qu’il n’est jamais satisfait par ce qu’il a devant lui. S’asseyant sur son lit, il posa son menton dans la paume de sa main, son coude appuyé sur son genoux et aspira la dernière latte qu’il restait. Écrasant la cendre dans le cendrier prévus à cet effet à côté de son lit, il s’allongea. Il pouvait se projeter dans le passé, dans le présent, mais dans l’avenir, ça lui était impossible. Il vie sa vie au jour le jour, sans s’encombrer des contraintes de la vie quotidienne. Il veux vivre libre mais se rappel avoir lu un jour que le bonheur n’existe que s’il est partagé …
HORS JEU
- C'est quoi ton ptit nom ? Et pseudo ? : Malo'
- T'as quel âge ? : 19 ans
- Ton avatar ? : Dougie Poynter
- Tu a pris un poste vacant, scénarii ou tu là inventer ? : PV
- Fréquence de connexion ? : ~4/7 jours
- Où as-tu connu le forum ? : en naviguant de fo' en fo'
- Comment tu le trouves ? : sympathique
- Code du réglement ? : Code correcte by Joe H. Petterson.
- Exemple de rôle play :
- Spoiler:
Assise du côté passager de la 306, j’attendais patiemment notre arrivée à Las Vegas. Le silence que nous avions mutuellement installé dans le véhicule pesait lourdement. Ce n’étais pas la peine qu’il ouvre la bouche si c’était pour me rembarrer à tout bout de champ, autant qu’il se la ferme et qu’il se concentre sur la route et sur notre objectif par la même occasion. Têtue comme je suis et misogyne comme il est, notre conversation restait quelque peu limitée sur la fin trajet. C’est dans le silence le plus complet que nous passâmes la barrière de péage. Je zieutais d’un œil méfiant le vigile puis Sam repris la route en pleine vitesse. Je m’attendait bien entendu à ce qu’il remette le couvert, mais j’aurais espéré qu’il le fasse un peu plus tard …
Fais pas chier Sam. Ça allait très bien quand tu ne parlais pas
Tandis qu’il accélérait encore, je le fusillai du regard afin de lui démontrer toute mon amitié … Lorsqu’il fit valser sa cendre de clope sur mes cuisses, je fis un bond sur le siège. J’avais quelques qualités mais la patience ne faisait pas vraiment partie de la liste, qu’il se tienne à carreau. J’avais beau bien l’aimer, ça avait beau être mon ami, je pouvais très bien mettre ça de côté le temps d’une belle petite droite. Lorsqu’il s’adressa de nouveau à moi, je me tournai vers lui indignée.
Quand tu me traître comme ta servante au bar j’ai pas d’autre choix que de te servir, mais là tu te démerde… Je baissai la tête avant d’ajouter, et ne m’appel pas comme ça !
Il avait le don de m’énerver, des fois je me demande vraiment comment j’arrive à le supporter. Est-ce qu’il se dit la même chose ? J’en sais rien, mais je suis sans aucun doute beaucoup moins chiante que lui mais beaucoup plus adroite !
Pas le temps de m’attarder plus dans mes pensées, il tourna le volant d’un coup sec et nous aperçûmes enfin la grande Las Vegas. Impossible de passer à côté, elle appelait tout les voyageurs. Je ne m’y était pas rendu depuis que je m’étais fais arrêtée sur la route alors que j’était en plein excès de vitesse…
Samuel se gara et coupa le moteur. J’en profitai pour sortir le revolver de la boîte à gants. J’avais dû investir en attendant de forcer les casiers de police pour récupérer mes Browning. Alors que je le prenais soigneusement, Sam me pressais, avec une délicatesse légendaire comme d’habitude. Je sortis de la voiture et m’appuyai contre celle-ci. Lorsque mon camarade m’indiqua qu’il s’absentait, je secouai la tête lentement de façon passive et écoutai la fin de sa phrase avant de lui répondre à mon tour.
Ne t’inquiète pas pour moi va, je…A peine le temps d’ouvrir la bouche qu’il partait déjà cet abruti. J’entrepris tout de même de finir ma phrase et lui cria la suite en retour, je te conseil plutôt de prendre un plan à l’entrée de la ville, je me suis laissée dire que ton sens de l’orientation était limité
Je finis ma phrase en un cri plus qu’audible. Décidément, cet homme était né pour me taper sur le système et malgré tout je l’aimais bien. C’est toujours mieux ça qu’un minet qui se laisse dominer et qui obéit à tout ce que vous lui dites. Cependant il n’en manque pas une pour me mettre hors de moi, et c’était le cas en ce moment même. On avait autre chose à faire que groller en ville putain.
Afin de satisfaire le bon vouloir de monsieur Gordon, je me mis en quête de ce bon vieux hôtel, sentant le métal froid du revolver contre mon dos au fur et à mesure que je faisais un pas. Je veillais quand même l’heure, espérant que l’autre macho ne fasse pas foirer l’opération sous peine que c’est un homme et qu’il contrôle la situation … Mon père comptait sur cette mission, si elle n’était pas exécutée aujourd’hui, il faudrait attendre un petit bout de temps et ce n’est jamais bon de faire durer une affaire sur le long terme.
Arrivant enfin devant le bon bâtiment, je me plaçais dans un coin, près des fontaines, prête à attendre mon coéquipier de choc. Au bout de 2 minutes, je tapais déjà du pied. J’eus vite fais de regarder l’heure, sortir mon téléphone, le re ranger, toucher le revolver, le replacer correctement… Je croisai enfin mes deux bras sur ma poitrine, et entrepris d’attendre Sam en tapant simplement du pied sur le bitume. 3 ans que je le connaissais, et 3 ans qu’il ne changeait pas, qu’ON ne changeait pas. Plus les minutes défilaient, plus mon calme, déjà très peu présent, s’éloignait en courant. 23 heures, Sam est en retard, et heureusement, notre cible aussi. J’étais officiellement énervée ! Il a de la chance que le « client » soit en retard sinon je l’aurait noyé dans la fontaine et nous aurions compté deux cadavres au lieu d’un seul. Tournant la tête sur la gauche, j’aperçue mon acolyte qui arrivait tout calme, et à en juger par son sourire, j’en déduis simplement qu’il était content que je ne me sois pas perdu … Il avançait avec une assurance à en faire pâlir plus d’un. Lorsqu’il s’exprima à mon égard, je pris la mouche. C’est quoi cette remarque ?! Comme si j’avais penser à me barrer. Ni une ni deux, j’entrepris de lui répondre en essayant tout de même de mettre mon agacement de côté.
C’est ça et je t’aurais laisser tout seule gérer la partie amusante de la soirée ? C’est trop de surmenage pour toi mon grand !
Et par-dessus le marché, on m’aurais traité de lâche. Plutôt crever ! C’était à cette date précise, que j’avais rencontré Samuel pour la première fois. 3 ans et il me semblait pourtant connaître ses moqueries depuis que je suis née ! J’ai quand même toujours la conviction que c’est moi qui le ferait changer d’avis sur ses a priori très limités sur les femmes. Il est comme ça depuis que je le connais, sûrement même avant, mais d’où ça vient ? Dieu seul le sait.
Surveillant toujours les allés et venues à l’entrée de l’hôtel, je gardais un œil attentif à tout ce qui se passait autour de nous, faisant mine de n’être rien d’autre qu’une poule qui attend son poulet … Il faut sans arrêt tromper les apparences quand on agit sur « terre inconnue » pour ainsi dire. A Clifton, pas la peine de faire tout un cinéma, tout le monde nous connaît. Malgré tout, j’avais hâte que ça finisse, je commençais sérieusement à m’impatienter.
Bon c’est quoi ce bordel ?
Je savais pertinemment qu’il ne pourrait pas répondre à ma question mais il fallait que je m’exprime. J’avais fermé ma gueule pendant le trajet parce qu’on avait rien à se dire à part s’envoyer chier, là il en était autrement, on ne savait finalement pas grand-chose de comment ça allait se passer. De nouveau je tournai la tête vers Sam, prenant les devants et risquant une affirmation assurée.
Il est pas là, j’vais faire des repérages à l’entrée de l’hôtel, toi, et bien … reste là !
Ce serait mal venu de me retenir, ça ne servait pas à grand-chose que je reste à ses côtés, attendant passivement qu’il se passe quelque chose et ça ne servait à rien non plus qu’il m’accompagne, je pouvais largement gérer ça toute seule ! Lui lançant un clin d’œil, je serrai le revolver contre moi et m’avançai, me dandinant comme une pimbêche afin de tromper les apparences …
- Autres : nope
Dernière édition par Andrew G. Pitt le Mer 16 Déc - 15:28, édité 4 fois |
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 ÊTA PI
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| | Sujet: Re: Andrew // Mar 15 Déc - 11:35 | |
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ÊTA PI
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Cédrino Dixon - Jacks
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| | Sujet: Re: Andrew // Mar 15 Déc - 13:16 | |
| - Andrew G. Pitt a écrit:
- Merci pour l'accueil
En revanche j'aurais une petite question
J'ai vu qu'Andrew sort avec Constance, mais celle-ci à 26 ans dans sa fiche. ça fait pas un peu beaucoup d'années d'écard ?
Ceci dis je n'irais pas à l'encontre des PV, mais c'était juste une remarque.
Justement ceci est fait exprès, car Andrew est le type de mec à collectionner les filles et quand le poste vacant à était créer je me suis dis, tiens, cela serrais marrant qu'Andrew sorte avec une fille beaucoup plus âgée que lui pour se la "petter" au campus. Tu me comprend ? Car moi et mes explications par moment ... |
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ÊTA PI
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Cédrino Dixon - Jacks
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| | Sujet: Re: Andrew // Mar 15 Déc - 13:47 | |
| - Andrew G. Pitt a écrit:
- Ok ^^ ouais ouais j'te comprend y'a pas de soucis ! C'était justement pour savoir si il y'avait quelque chose à comprendre là dessous. Merci pour l'éclairage.
Maintenant me reste plus à compléter ma fiche, mais j'ai déjà une idée de comment cerner le perso'
Parfait. Bonne continuation pour ta présentation. Je te valide cette fois ci ton code qui est correcte. |
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ÊTA PI
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Cédrino Dixon - Jacks
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| | Sujet: Re: Andrew // Mer 16 Déc - 15:04 | |
| Très beau style d'écriture, j'aime bien. Tu es validé ! Je te rappel qu'un recensement à lieu, ici !Une soirée Chatbox à lieu vendredi soir à partir de 20 heures, tu peut y venir si tu le souhaite. Darling à publier un nouvel article sur son blog interactif, clique !Et le premier événement du forum à lieu, là !
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